Octavio Paz
Lecture et contemplation
Traduit de l’espagnol par Jean-Claude Masson
Frontispice de Gérard Barthélémy
20 juillet 1982. 56 p. (pp. 9 à 48)
100 exemplaires avec une eau-forte,
dont 25 comportent une épreuve à part tirée à grandes marges
L’exemplaire sans suite : 600 € / L’exemplaire avec suite : 1 200 €
Octavio Paz poursuit ici là réflexion commencée vingt-cinq ans plus tôt dans L’arc et la lyre sur le langage et la poésie. Quelle est l’origine de la langue chez l’homme ? Par quelle malédiction fut rompue l’unité originelle, provoquant la dispersion babélienne en une multitude de langues et de dialectes par le monde ?
Interroger le langage, c’est nous interroger nous-mêmes, écrit Octavio Paz qui tente de définir, à partir des recherches linguistiques contemporaines et d’expériences poétiques les plus radicales, ce que peut être la traduction, notamment la traduction poétique.